Le ministère de la Culture a toujours soutenu le Trophée Béton dont la notoriété n’est plus à démontrer auprès des jeunes diplômés des écoles d’architecture. Vous soulignez sa capacité à légitimer le rôle de l’architecte…
Cette année, 134 jeunes diplômés ont été intéressés par la démarche. Avec d’excellents projets, les dossiers recevables témoignent d’un angle de vue très large sur l’utilisation du béton. En répondant à des critères essentiels à la qualité du cadre de vie – esthétique du projet, relation au contexte, approche technique, capacité d’innovation, performances environnementales… -, ils s’inscrivent dans une démarche de qualité architecturale. En démontrant l’aptitude des candidats à mettre leur savoir-faire au service de l’innovation conceptuelle, formelle et constructive, ce Trophée atteste bien de la légitimité de l’architecte. Au nom d’une vision globale de l’édifice, chaque projet a la capacité d’organiser des solutions synthétisant une batterie d’exigences. Cela rejoint la démarche engagée...