
Fenêtres : économie d’énergie et qualité sont prioritaires pour les Français
C.G. | le 09/07/2012 | Second œuvre, Energie, France , Technique
Une étude TNS Sofres, commandée Roto Frank Ferrures S.A.S, révèle l’attachement des Français à la possession de fenêtres de bonne qualité.
Les fenêtres ne représentent pas une composante anodine des maisons pour les Français, selon une étude TNS Sofres, commandée par le fabricant Roto Frank Ferrures S.A.S. Questionnés sur l’importance accordée à la bonne qualité des fenêtres, les personnes interrogées considèrent à 80% et à 16 % qu’il est « très important » et « plutôt important » de posséder de bonnes fenêtres ou des fenêtres de haute qualité.
La priorité c'est la qualité
Le niveau élevé de qualité concerne tous les groupes de personnes sans distinction de revenus ni de régions. L’étude révèle que les plus de 50 ans et les femmes y accordent une importance plus prononcée : 96% d’entre eux considèrent ce critère comme « très ou plutôt important ».
Parmi les aspects auxquels les Français prêtent attention lors d’un achat de fenêtres, l’étude retient : le « potentiel d’économies d’énergie » (62%), la « bonne qualité » (47%) et la « sécurité/ protection contre les effractions ». Le critère « prix économique » n’intervient qu’en quatrième position, sélectionné par 28% des personnes interrogées.
Les perspectives pour les pros
Le critère « Protection contre les effractions/ sécurité » se révèle important pour les jeunes, les femmes, les familles nombreuses et les habitants de la région parisienne. Une part importante d’hommes s’intéresse plutôt au matériau et à la conception. Dans les petits foyers et les foyers sans enfant, la qualité et les économies d’énergie sont des critères particulièrement importants. Cependant, l’étude indique que seul un interrogé sur deux montre de l’intérêt aux solutions spécifiques pour fenêtres
Une personne sur deux montre de l’intérêt
Etude représentative effectuée par TNS Sofres sur une base de 52, 7 millions de personnes âgées 15 ans et plus. Les enquêteurs ont interrogé environ 1000 Français, au cours du printemps, sur toute la France.